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    Un garçon qui paraît longiligne, parce que dessiné de profil. Il me fait penser au célèbre "Homme qui marche" de Giacometti, en toute modestie,  évidemment...sarcastic

     

    Eh les filles !  un homme ! (18) à la Giacometti...

    Crayon pastel bleu et craie blanche sur papier recyclé  28 x 46


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    Dix minutes.

     

    Profil au chignon

    Fusain sur papier kraft - environ 45 x 56





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  • Un collègue d'atelier m'a photographiée en pleine action  smile C'est sympa, non ?

     

    En séance : une scène d'atelier

     Et en fin de séance, on discute, on échange les points de vue, on parle de nos difficultés artistiques, de nos ressentis.

    Il y a une bonne ambiance, dans cet atelier !

    La casquette protège mes yeux de la lumière dure des néons. 

     

    En séance : une scène d'atelier

     


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    Trois fois dix minutes.

     

    Sarabande

    Encre et aquarelle sur papier aquarelle environ 32 x 46


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    Je continue le recouvrement de la toile avec des couleurs qui formeront la base de chaque partie du tableau. Je vois bien qu'il y a des retouches à faire aux personnages, mais ce sera pour plus tard.

     

    Partons pour Saïgon (3 et 4)

    Je vais même jusqu'à les habiller avant de les retoucher. Mais ce n'est qu'une première couche...

     

    Partons pour Saïgon (3 et 4)

    Huile sur toile 80 x 100

     

    à  suivre ...





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  •  Deux fois dix minutes. Un modèle bien sage . wink2

     

     Vis-à-vis

    Encre noire aquarellable sur papier aquarelle environ 32 x 46

     


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    Cet article a été construit pour la communauté "Le tableau du samedi" de l'ami  Jean-Marie . 

     

    Pour changer un peu, je vous présente, si vous ne la connaissez pas, une femme sculpteur de talent : Jurga Martin. 

     

    Jurga Martin

     

     D'origine lituanienne, Jurga Martin exerce la profession de sculpteur à Beaune.

    Après avoir éudié la musique, Jurga poursuit, à l’université de Vilnius, l'apprentissage de l'anglais. Elle arrive en France en 2001, à Rouen, où grâce aux conseils de Christian Sauveur, professeur, elle suit des cours du soir pendant une dizaine d'années, pour apprendre le modelage de la terre. Elle évolue rapidement vers un style qui lui est propre.

      

    Jurga Martin

     Ses statues, d'un aspect rugueux, expriment pourtant la douceur, la tendresse, la naïveté, l'optimisme, la fragilité, des personnages qu'elle aime créer en grandeur nature.

     

    Jurga Martin

    Son oeuvre pleine de vérité et de poésie séduit et touche au coeur. 

    "Jurga porte un œil interrogatif sur l'art et les artistes actuels qui ne semblent plus correspondre à ce qu'elle recherche au quotidien. La démarche de l'art conceptuel, par exemple, semble totalement lui échapper et, de ce fait, elle se sent quelque peu marginalisée."

     

    Jurga Martin

     

    Malgré cela, son travail est reconnu des professionnels et des galeristes. Jurga n'est pas parisianiste, elle se sent bien en région et aimerait travailler avec les collectivités territoriales, qui d'ailleurs apprécient son travail et ont déjà acquis certaines de ses oeuvres.

     

    Jurga Martin

     

    Pour en savoir plus : blog Jurga 

    et aussi : Artodyssey


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    Je vous avais montré son visage, en zoom ce jour-là . 

    Et la voici avec sa belle robe et ses foulards joyeusement colorés. Deux heures devant elle, et une petite heure chez moi pour les "finitions".

    Comme j'étais à court de papier, j'ai travaillé sur une vieille feuille de Canson un peu fatiguée...sarcastic

     

     

    Portrait de Missia

    Pastels secs sur Canson noir 50 x 60

     


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     Dix minutes.

      

    Sanguine (21)

     Sanguine et craie blanche sur papier recyclé 28 x 46


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    Pour une expo sur le thème "Partons en bateau", j'avais envie de décrire un moment fort de mon enfance, lorsque je suis partie pour l'Indochine avec maman pour rejoindre mon père qui nous attendait à Saïgon.

    J'ai ressorti de vieilles photos de mon album d'enfance, j'ai cherché sur internet des vues des paquebots de l'époque. Je connaissais le nom du bateau, et j'ai trouvé beaucoup d'éléments dans les archives de la Marine.

    Et à partir de tous ces documents, j'ai imaginé une gamine de six/sept ans et une jeune femme partant pour la grande aventure, les yeux tournés vers l'Océan Indien.

    J'ai dessiné une maquette sur un bloc papier, et lorsque je l'ai trouvée suffisante pour un bon point de départ, je l'ai reportée au carreau avec un crayon graphite sur une toile de 80 cm x 100 cm.

      

    Partons pour Saïgon ! (1 et 2)

     

    Puis, j'ai commencé à recouvrir la toile, en créant, à l'huile, un fond bleu clair uni pour le ciel et un peu plus foncé pour la mer. L'expérience m'a appris que quand il s'agit du bleu, il vaut mieux partir sur une teinte claire, autrement, par la suite, le bleu "remonte" toujours, et il est très compliqué d'éclaircir.

      

    Partons pour Saïgon ! (1 et 2)

     Huile sur toile 0,80 m x 1 m

     

    à suivre...

     


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