-
-
Etat de cette étude à la moitié de la séance, c'est à dire après une heure et quart de travail.
On ne voit pas encore que la robe est rouge
Pastel sur Canson 50 x 65
A suivre...
13 commentaires -
Parfois j'ai des accidents de parcours.
J'avais dessiné en premier la pose de gauche, et quand j'ai dessiné celle de droite, j'ai commis l'erreur de la faire au même niveau que la première, alors que le modèle de droite aurait dû apparaître comme étant au premier plan, puisqu'il est dessiné plus grand.
Il aurait donc fallu composer les deux silhouettes en tenant compte de cette différence de proportions.
Par le miracle du numérique, j'ai rectifié la position en déplaçant virtuellement la pose de gauche vers le haut de la planche.
Mais la vraie planche, dans la vraie vie, reste comme elle était, avec cette erreur de mise en page.
Planche foutue, zut !
Vous me direz que je peux la recopier en la recomposant, mais ça je ne le fais jamais, je veux garder la spontanéité du dessin non retouché.
11 commentaires -
Gaston de La Touche, dit aussi Gaston La Touche, 1854 - 1913 est un peintre, pastelliste, aquarelliste, graveur, illustrateur et sculpteur français.
Originaire de Normandie, il commence très tôt à apprendre le dessin. Il travaille dans l'atelier de Manet, et fréquente aussi Edgar Degas et d'autres artistes. Il illustre des nouvelles et romans d'Emile Zola.
Ce qui me plaît à propos de cet artiste, c'est que lorsqu'une de ses toiles ne lui plaît pas, il la brûle.
Je n'aime pas toutes ses peintures, mais j'aime beaucoup celles que je vous mets ici.
Le Pardon en Bretagne
Dans le jardin
Les pivoines
Et mon préféré entre tous :
Le voile blanc
Cet article a été rédigé pour la communauté "Le tableau du samedi" de l'ami Jean-Marie .
20 commentaires -
-
Je n'étais pas satisfaite de ce tableau. Cet homme au milieu de mon tableau avait quelque chose d'incongru. Pourquoi un asiatique ? les spectateurs n'allaient-ils pas se demander quel était le sens de cette sorte d'allégorie ?
Et j'aurais été bien en peine de leur expliquer le pourquoi. Alors j'ai passé une couche de peinture noire sur le carré du centre, me demandant, encore une fois, ce que j'allais bien pouvoir y mettre pour que tout ça prenne un sens...
Et puis j'ai pensé tout d'un coup à l'article de Jean-Marie, pour le "Tableau du samedi", à propos du peintre Albert Marquet.
ici >>> Avec Albert Marquet
Et je me suis souvenue de cet auto-portrait au clin d'œil que j'avais beaucoup aimé.
Auto-portrait au clin d'œil, Albert Marquet. En noir et blanc.
Et sans réfléchir plus avant, j'ai recherché cette œuvre sur internet, et j'en ai imprimé une copie en noir et blanc. Il fallait en effet être fidèle au clin d'œil, mais harmoniser les couleurs avec celles de l'ensemble. Une copie sans contrainte...Une photo couleur m'aurait trop influencée.
Et en une petite heure j'ai exécuté une copie librement interprétée de cette œuvre charmante d'un peintre du siècle passé...
Et du coup l'ensemble prenait un sens. Un peintre avec quatre modèles si différents, le passé et le présent, le féminin multiple et l'artiste gourmand de beauté féminine...
Elle n'est pas bonne, mon idée ?
A suivre...
19 commentaires -
-
Mon tableau serait-il donc terminé ?
Il faut que je réfléchisse...
Votre avis m'intéresse...
A suivre...
10 commentaires