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Rouge.
Pour la robe de la jeune fille j'ai finalement choisi la couleur rouge.
Parce que c'est ma couleur préférée.
Et parce que je veux me démarquer complètement de la photo en noir et blanc de Brassaï.
Désolée pour ceux qui aiment le beige ou le gris
A suivre...
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Laurent Parcelier, né en 1962, est un dessinateur français.
Il étudie de 1978 à 1980 aux Arts appliqués Duperré à Paris, puis travaille comme dessinateur pour la revue Triolo.
Il est surtout connu pour ses séries de BD Les Sept Boules vertes et Guilio et le drôle de monde, qui se déroulent dans un monde de fantasy. Par son style, il est un représentant typique de la ligne claire (langage graphique issu de l'école belge Hergé et du « style Tintin »)
Laurent Parcelier se consacre désormais exclusivement à la peinture. Ses techniques : l'aquarelle mais surtout l'huile lui permettent de travailler dans un style impressionniste où le jeu des ombres et des lumières prédominent.
(d'après Wikipédia)
Ce sont ces jeux d'ombre et de lumière qui me plaisent dans son oeuvre peint. Je ne connais pas ses BD.
Dans la colonne de droite du blog, rubrique "Mon Musée Virtuel", vous pouvez découvrir ou retrouver quelques autres œuvres de Laurent Parcelier.
Cet article a été rédigé pour la communauté "Le tableau du samedi" de l'ami Jean-Marie .
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L'élément fondamental du choix des couleurs, pour cette scène, c'est celui de la robe de la femme blonde. Elle occupe une place centrale, et couvre une assez grande surface. Sur la photo qui m'a servi de point de départ la robe est claire, probablement grise, ou beige. Ce qui éclaire la scène noir et blanc. Les costumes des deux personnages qui l'entourent sont foncés, ce qui établit un contraste.
Avant de prendre la décision, je passe un jus noir très dilué sur les costumes masculins. Et c'est vrai que tout de suite le personnage féminin prend du relief.
Beige ? Gris ? Bleu clair ?
A suivre...
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Suite de l'article paru le 14 juillet 2014 .
Après les visages, j'ai ébauché les mains. La ronde des visages et des mains, c'est quelque chose qui m'intéresse toujours.
Oui, je sais, ce n'est pas comme ça qu'on peint, on doit faire "avancer" le tableau dans sa globalité. Seulement le tableau est pratiquement terminé dans ma tête, avec seulement quelques points d'interrogation qui se résoudront au fur et à mesure de l'avancement et entraîneront la suite du voyage...
Et tant pis si ce n'est pas la construction classique. Je connais les bases de la création d'un tableau, le cheminement traditionnel, mais après, je fais ce que je veux ! OK ?
A suivre...
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Voici le cheminement de la création de ma dernière grande toile (1m x 1,60 m) pour l'exposition de groupe ayant pour thème, comme chaque année "La vigne et le vin".
Pour cette toile, je suis partie d'une photo de Brassaï prise chez Lulu de Montparnasse, personnage haut en couleurs des années 30. J'ai gardé la structure, les personnages, mais j'ai réinventé plus ou moins le décor pour l'adapter à notre région, lui donner une "couleur locale".
Et bien évidemment, j'ai mis en couleur cette photo contrastée noir et blanc .
Aujourd'hui je vous montre le tout début.
Report du dessin par la méthode "du carreau", au crayon graphite sur la toile préalablement "nourrie" au gesso blanc.
Et comme bien souvent, je commence par les visages, il faut déjà faire "vivre" la toile. Pour moi les visages sont déterminants, ils créent l'ambiance psychologique de la scène.
Huile sur toile 1 m x 1,60 m
A suivre...
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Clotilde prend souvent cette pose décontractée très agréable à dessiner.
Dix minutes.
Encre et aquarelle sur papier aquarelle environ 32 x 46
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Kees Van Dongen est un peintre néerlandais de sensibilité libertaire né au Pays Bas en 1877 et mort à Monaco en 1968.
En 1892, à l’âge de 16 ans, Kees van Dongen débute des études en peinture à l’Académie royale des beaux-arts de Rotterdam. De 1892 à 1897, il fréquente le Quartier Rouge portuaire et peint des scènes de matelots et de prostituées.
D'inspiration anarchiste, il illustre en 1895 avec Jan Krulder l’édition hollandaise de l'ouvrage de Pierre Kropotkine intitulé L’Anarchie.
En 1897, il découvre Paris. Il y retourne en décembre 1899 et se marie avec Augusta Preitinger le 11 juillet 1901. En 1904, il expose au salon des indépendants et rencontre Vlaminck et Matisse. Les couleurs vives de leurs œuvres seront à l’origine du nom de ce groupe de peintres : les Fauves.
Malgré ses opinions libertaires, il fréquentera les milieux privilégiés. Il deviendra français en 1928.
Comme c'est le cas pour beaucoup d'entre eux, je n'aime pas toutes les créations de cet artiste, mais j'ai fait une petite sélection des oeuvres que j'apprécie afin de vous les faire partager et de recueillir vos avis. Ses visages mangés par de grands yeux sont caractéristiques de ses portraits de femmes. Ceux que je vous montre ici sont parmi les plus "soft", je ne suis pas fan de ceux qui sont trop "trash", ou plutôt trop "fauves" et que vous connaissez sans doute, ou que vous pourrez retrouver par exemple ICI.
Dans la rubrique "Musée Virtuel" (colonne de droite du blog) vous trouverez d'autres œuvres de Van Dongen parmi celles que je préfère aussi.
Cet article a été rédigé pour la communauté "Le tableau du samedi" de l'ami Jean-Marie .
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