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En 2015 je n'avais pas pu participer à cette grande exposition à thème, mais cet été j'ai pu m'y remettre. Comme chaque année le village viticole organisateur nous a donné en avril une grande toile, genre toile de bâche, mesurant 1m sur 1,60m, avec pour mission de la rendre le 15 juin recouverte d'une œuvre sur le thème de "la vigne, le vin".
Et cette année j'ai choisi de m'inspirer d'une belle photo en noir et blanc de Willy Ronis prise un 14 juillet dans le Paris d'après guerre. Comme chaque fois que je me suis inspirée d'une photo, je l'ai librement interprétée.
J'ai commencé par reporter au carreau les personnages sur ma toile préalablement "nourrie" au gesso blanc.
J'avais respecté les dimensions des personnages principaux, mais à la réflexion, je trouvais que le personnage masculin au centre semblait bien plus petit que ses deux cavalières, alors que sur la photo il ne donnait pas du tout cette impression. Ce qui prouve bien que photo et peinture sont deux choses différentes. Ce personnage sur la photo, on comprenait bien que son déficit de taille était dû à la perspective, mais sur la toile, ça me choquait. J'ai donc agrandi le jeune homme.
A suivre...
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J'ai découvert cette chanteuse il y a peu, et je voulais partager avec vous ce plaisir.
Revenons à ce portrait imparfait qui m'a donné tant de mal !
A force de me battre j'ai quand même réussi à modeler le visage, la main.
Le vêtement sans intérêt, le fauteuil, resteront inachevés .
Celui-là ne restera pas dans les annales de ma longue carrière ! Mieux vaut en rire...
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La vie d'artiste n'est pas toujours facile !
Ce jour-là je me suis trouvée aux prises avec un support cartonné assez abrasif, mais recyclé plusieurs fois et complètement saturé... Pour la mise en place du dessin, ce n'était pas gênant. Mais...
Chaque fois que je voulais mélanger deux couches de pigments du bout du doigt, elles s'étiolaient, s'effritaient, s'effaçaient presque...Très énervant ! Du coup le résultat était flou, mou, il fallait trouver une solution...
A suivre...
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Pierre Alechinsky, né en 1927 à Bruxelles, est un peintre et graveur, qui réunit dans son œuvre expressionnisme et surréalisme. Il a aujourd’hui 89 ans.
Ses parents étaient médecins. Dans les années 1930, Alechinsky étudie à l'école Decroly à Bruxelles. On oblige l’enfant gaucher à écrire de la main droite. La gauche, sa meilleure main, les éducateurs la lui laisseront pour les travaux « de moindre importance » : le dessin...
Pierre Alechinsky devient très rapidement l'un des acteurs majeurs du monde artistique belge de l'après-guerre. Il adhère au mouvement CoBra, mouvement créé en 1948, regroupant des artistes issus de Copenhague, Bruxelles et Amsterdam, qui préconise un retour à un art plus provocant, agressif et audacieux.
Alechinski abandonne progressivement l'huile pour des matériaux plus rapides et plus souples comme l'encre, qui lui permet de donner libre cours à un style fluide et sensible.
Il est très inspiré par l’art oriental - en particulier la calligraphie japonaise - et aussi par la bande dessinée.
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La stature imposante, olympienne, en totale opposition avec le modèle gracile présenté dans l'article précédent. Une beauté différente, mais le même plaisir de dessiner.
Encre aquarellable "sanguine" et aquarelle sur papier aquarelle
environ 32 x 20
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Un fusain. Dix minutes.
Quand je vois ce dessin, ça me donne envie de me remettre au fusain !
Fusain sur papier journal 50 x 70
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Qui se souvient des "Surfs", groupe malgache des années soixante ???
Je me suis arrêtée là. Je pense que ça ne sert pas à grand chose de compléter.
Pastels secs sur pastelmat 50 x 70
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La mise en place du dessin est faite, je commence à poser les lumières sur le visage.
A suivre...
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Une chevelure abondante, une longue silhouette, joli modèle !
Encre et aquarelle 32 x 46
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Ce petit portrait a déjà été publié le 17 juin 2013.
La toile a été préparée pour créer des reliefs. Une couche épaisse de peinture noire sur laquelle j'ai passé un peigne pour créer des rainures. Ce qui donne un effet de mouvement, comme une poignée de petits cailloux jetés dans une mare.
Céline avait 14 ans, c'était la nièce d'une amie, qui était venue poser à l'atelier.
Huile sur toile 41 x 33
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