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    Deux poses de dix minutes chacune.

    Lundi -

    Encre sépia aquarellable et lavis sur papier aquarelle


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    Une pose de dix minutes.

    Lundi -

    Encre sanguine aquarellable et aquarelle sur papier aquarelle


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    Pour le "Tableau du samedi" initié par Melly, repris par Jean-Marie, puis  par Lady Marianne et continué par Fardoise et Lilou le thème, ce samedi, c'est :"Au bord de l'eau".

     

    Cette semaine j'ai eu du mal à choisir, alors je vous propose deux tableaux du "bord de l'eau".

    Le premier est ce merveilleux Cézanne que j'adorerais accrocher chez moi...

    Je le trouve d'une beauté renversante. Je suis sur un bateau et j'admire ce superbe hameau du XIXème siècle devenu de nos jours un quartier du 16ème arrondissement au Nord-Ouest de Marseille.

    "Ancien hameau isolé de pêcheurs et de fabricants de tuiles, l'Estaque devient à la fin du XIXème siècle un village d'ouvriers d'usines et une station balnéaire. Entre 1870 et 1914, ses paysages sont une source d'inspiration pour des peintres célèbres, tels que Paul Cézanne, Georges Braque, ou Auguste Renoir. A partir des années 1940, l'économie industrielle s'effondre et k'Estaque est touché par la crise économique et les problèmes d'urmbanisme, comme l'illustrent les fils de René Allio et plus récemment de Robert Guédiguian, avant d'importantes actions sociales et urbaines à partir des années 1990. 

    L'Estaque est aujourd'hui une zone résidentielle d'environ 6000 habitants, réputée pour son ambiance de village." Wikipedia 

     

    Samedi - Le tableau du samedi : "Au bord de l'eau"

    Paul Cézanne - Le village de l’Estaque vu de la mer - (1876) - Huile sur toile

    (Cliquez pour voir l'image en grand)

     

    Et le deuxième c'est un tableau d'Emile Klaus (1849 - 1924), peintre belge faisant partie du mouvement du "luminisme".

    Ces deux enfants au bord d'une rivière observent...observent quoi ? Les oiseaux ? Les poissons ? Ce tableau m'interroge.

     

    Samedi - Le tableau du samedi : "Au bord de l'eau"

    Émile Claus (1849-1924)- "Deux enfants au bord de l’eau" 

    (Cliquez pour voir l'image en grand)


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    Deux poses de dix minutes chacune.

    Mercredi -

    Encre noire aquarellable et lavis sur papier aquarelle


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    Une pose de 10 minutes.

    N'est-elle pas "trop mignonne" ?

    Mercredi -

     

    Encre noire aquarellable et aquarelle sur papier aquarelle


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    Deux poses de dix minutes chacune.

    Vendredi - Deux poses modèle masculin

    Encre noire aquarellable et lavis sur papier aquarelle


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    Elizabeth (Lilla) Cabot Perry (1848 - 1933) est une artiste peintre américaine née à Boston. Elle a peint surtout des portraits et des paysages et ce qui la distingue c'est qu'elle a beaucoup voyagé et fait la promotion de l'impressionnisme français aux Etats-Unis. 

    Elle est l'aînée de 8 enfants dans une famille aisée, son père étant un éminent chirurgien. En 1867 elle voyage en Europe avec ses parents.

    Elle se marie et peint son premier tableau "Portrait d'un nourrisson" (sa fille Margaret). Elle est autodidacte et ce n'est qu'en 1884, à 36 ans, qu'elle prend ses premiers cours de peinture. Son père meurt et lui laisse un héritage qui lui permet de voyager et de se consacrer à ses études artistiques. 

    En 1887 Lilla Cabot Perry va à Paris. En 1889 elle présente au Salon des Indépendants le portrait de son mari et celui de sa fille tenant un livre. Cette même année, elle voit, pour la première fois, le travail de Claude Monet . C'est une révélation ! Elle se rend à Giverny, et de 1889 à 1909, Lilla Cabot Perry y passera dix étés et une relation sincère se nouera entre les familles Monet et Perry.

     

    Mardi - L'artiste du mardi : Elizabeth (Lilla) Cabot Perry 

    "A peach tree"

     

    Mardi - L'artiste du mardi : Elizabeth (Lilla) Cabot Perry 

    "Etretat"

    De retour aux Etats-Unis elle donne une conférence sur Claude Monet en 1894. Elle exposera aux Etats-Unis et en France régulièrement.

     

    Mardi - L'artiste du mardi : Elizabeth (Lilla) Cabot Perry

    "Young bicyclist - (1895)

    En 1898 son mari est nommé professeur au Japon pour 3 ans, elle y exposera aussi. L'influence de l'art japonais se ressent dans les 80 tableaux qu'elle y produit.

     

    Mardi - L'artiste du mardi : Elizabeth (Lilla) Cabot Perry

    "Dans le jardin japonais"

    Par la suite elle fera des aller-retour entre la France et les Etats-Unis et continue à y exposer.

     

    Mardi - L'artiste du mardi : Elizabeth (Lilla) Cabot Perry

    "The poppy screen"- (1915)

     

    Mardi - L'artiste du mardi : Elizabeth (Lilla) Cabot Perry

    "La coupe"

     

    Lilla traverse de dures épreuves : en 1923 sa fille Edith doit être internée, en 1928 son mari décède. Elle meurt en 1933.

     

    Mardi - L'artiste du mardi : Elizabeth (Lilla) Cabot Perry 

    Lilla Cabo-Perry peignant


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    En attendant que le modèle arrive, elle a posé pour nous. Belle ! et si douce.

     

    Lundi -

    Encre noire aquarellable et lavis sur papier aquarelle.


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  • Deux poses de 6 minutes chacune.

    Mercredi -

    Encre sépia et aquarelle sur papier aquarelle


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    Pour le "Tableau du samedi" initié par Melly, repris par Jean-Marie, puis  par Lady Marianne et continué par Fardoise et Lilou le thème, ce samedi, c'est : "La couleur jaune".

    Ce thème avait déjà été proposé par Lady Marianne le  8 septembre 2018 et le 9 janvier 2021, puis par Fardoise et Lilou le 16 janvier 2021. Mais cette couleur lumineuse a été largement utilisée par les artistes, on n'a que l'embarras du choix pour présenter de nouvelles œuvres.

    J'ai donc choisi ce tableau de Max Kurzweil (1867 - 1916) qui m'a plu au premier regard. Ce peintre autrichien est un des peintres importants de la Sécession Viennoise dont il est un des co-fondateurs en 1897 avec Gustav Klimt et Egon Schiele.

    Je reviendrai sur cet artiste dans un prochain billet. 

     

    Samedi - Le tableau du samedi : "La couleur jaune"

    Max Kurzweil - "La dame en jaune" - (1899)

    Ce tableau me séduit par la mise en valeur de cette robe jaune, bien sûr, et par l'attitude décontractée du modèle que je trouve audacieuse pour l'époque : elle prend toute la place sur ce canapé et nous regarde droit dans les yeux. La taille fine et très dessinée évoque le corset en usage au XIXème siècle. Le fond et la tapisserie qui recouvre le canapé exaltent le jaune chaleureux et brillant du vêtement.

    C'est magnifique ! 


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