J'en étais là dans le portrait de Marie, les débuts ayant été publiés dimanche 20 mars :

J'ai continué la mise en couleur du buste. Sur la photo ci-dessous on voit les jambes du modèle à droite, et on aperçoit le fauteuil qui est indiqué sur le fond, à peine esquissé : les couleurs de chiffons posés dessus m'inspiraient.

J'ai poursuivi la pose des ombres et lumière sur le corps dans les mêmes tons dorés.

A suivre...

Je commence , comme pour chaque portrait, à poser sur le visage, à larges touches, les ombres et les lumières.

Puis, avec les mêmes teintes, je commence l'ébauche du décolleté et des bras du modèle.

A suivre...

Une jeune femme brun roux pose dans l'atelier : Marie.

Je dessine sa silhouette au crayon blanc sur ma feuille de pastelmat gris foncé.

Ce portrait au pastel a déjà été publié le 5 janvier 2015.

Quand une personne pose pendant plus de deux heures, la plupart du temps ses traits s'affaissent,  et si elle n'est plus très jeune elle prend un air triste.

Mais de toutes façons ce monsieur (un des "élèves" de l'Atelier) n'était pas très gai. Il me semble me souvenir que son épouse était malade, c'est peut-être aussi pour ça.

Pastels secs sur Pastelmat 50 x 70

 Pour mon modèle exotique, j 'ai choisi un fond coloré, comme si le personnage était devant un rideau plissé.

C'est embêtant, la photo ne rend pas les couleurs réelles : le fond du rideau n'est pas gris, il est vert amande !

A suivre... 

J'avais commencé à publier les étapes du portrait  de cet homme (voir le 29 novembre 2020 ), et comme je n'avais pas eu le temps de m'en occuper, j'en suis restée là. Mais je l'ai repris et je suis en train de travailler dessus. 

Comme je l'ai fait pour le précédent portrait du jeune homme aux yeux bleus, j'ai travaillé sur un fond.

J'ai passé quelques belles années de mon enfance et de mon adolescence en Afrique Noire et j'en ai gardé un souvenir joyeux des imprimés dans lesquels les africains et africaines confectionnaient leurs vêtements.  Je me souviens d'une rue de la dernière ville d'Afrique Occidentale dans laquelle j'ai vécu deux ans et dans laquelle se succédaient les boutiques vendant des boubous, des pagnes, des foulards, tous joyeusement colorés. C'étaient les hommes qui, machine à coudre installée sur le trottoir devant leur boutique, cousaient à longueur de journée, pendant que leurs femmes s'occupait de la vente. 

Quand nous sommes rentrés en France, ma mère a emporté une série de coupons dans lesquels elle m'a cousu des jupes qui rendaient mes copines jalouses !

Je me suis donc inspirée des joyeux coloris des tissus africains pour le fond de ce pastel.

A suivre...

Voici le portrait terminé, avec ce fond tourmenté qui souligne l'expression inquiète  du jeune homme.

Pastels secs sut pastelmat 50 x 70

J'en étais restée à la couleur des rayures qui ne me plaisait plus .

J'ai choisi pour la remplacer une couleur plus acide et fini de travailler les rayures en créant des lumières et des ombres pour lui donner un aspect soyeux : pourquoi se priver ? 

Ensuite, j'ai voulu créer un fond qui exprimerait le côté inquiet du personnage. J'ai choisi des couleurs contrastant avec la chemise.

A suivre...

Ce nu aux pastels secs a déjà été publié le 12 janvier 2013.

Pastels secs sur Papier Canson bleu 50 x 65

J'en étais là de la publication de l'élaboration de ce portrait. Voici la suite...

Me voilà installée avec mon chevalet dans mon salon. Je commence par essayer d'améliorer le rendu de ces yeux clairs mis dans l'ombre par l'arcade sourcilière.

Puis je continue la mise en couleurs de la chemise.

Mais le vert pâle que j'avais prévu pour les rayures en alternance ne me plaît pas. Il faut choisir, à mon avis, un vert plus vibrant.

A suivre