Un portrait de profil qui joue le contraste entre les bleus et les couleurs de chair.

Je m'étais servie de vraies dentelles par impression pour créer la partie basse du fond et le bustier. 

Il me semble bien me souvenir qu'en réalité le modèle était nu, mais j'avais trouvé cette interprétation plus élégante.

Ce tableau a déjà été publié le 29 novembre 2012.

Huile sur papier toilé, marouflé sur bois. 50 x 65 (plus le cadre)

J'arrive au bout de l'évocation des grandes toiles peintes chaque année pour être exposées dans les rues d'un village de ma région. En effet, la commune qui organisait cette superbe manifestation artistique a clôturé en 2019 cet épisode de son histoire que j'ai suivie pendant 16 années. L'évocation de ces 16 années dans ce blog a été commencée ICI. 

Cette dernière toile est inspirée d'une photographie en noir et blanc du photographe néerlandais Brand Overeem, que j'ai interprétée à ma façon. J'ai situé le vieux couple au milieu de vignobles, puisque le thème récurrent pour cette manifestation était "La vigne et le vin".

J'ai bien sûr mis la scène en couleurs, j'ai chaussé la vieille femme de baskets rouges très modernes, et le vieil homme de "bigatanes" catalanes pour la couleur locale, et j'ai peint à ses pieds l'outil typique du viticulteur : le sécateur, avec lequel il taille la vigne, mais aussi récolte les grappes.

"Les octogénaires réjouissants"

Huile sur toile 100 x 160 

C'est une artiste, une vraie, une portraitiste exceptionnelle. Et je l'ai peinte à l'atelier où elle posait de temps en temps, et aussi chez moi où elle était venue poser rien que pour moi !

Pour le premier portrait elle a posé juchée sur sa chère mobylette, son moyen de déplacement de l'époque. Je débutais, c'est un des premiers portraits que j'ai peints.

"Sur la mobylette" - Huile sur toile

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Le second portrait a été peint deux ou trois ans plus tard. Elle était assise sur un tabouret recouvert d'un tissu noir. Je m'y suis mal prise, pour le représenter, et le fond vaguement blanc n'aide pas à comprendre comment elle se tient. Le pull à rayures m'a donné du travail, mais le peindre m'avait plu.

"Le pull à rayures" - Huile sur carton

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Plusieurs années plus tard j'ai peint ce portrait, on sent quand même que j'avais fait quelques progrès techniques, au moins je l'espère...

"Portrait au foulard" - Huile sur toile

Pour le "coup d'œil dans le rétro" de ce jeudi, j'ai choisi cette toile satyrique qui décrit une réunion de copropriétaires plutôt agitée. Encore que j'ai assisté parfois à des réunions encore plus houleuses que celle-ci...

Le syndic en costume rayé a bien du mal à faire respecter l'Ordre du Jour. 

J'avais peint cette toile pour une exposition dont le thème était : "L'homme". La seule femme représentée sur la toile semble toute désorientée. Bien que dans certaines assemblées les femmes ne laissent la place à personne pour être virulentes.

Evocation du "sexe fort" un peu sexiste, peut-être, mais surtout taquine. Il faut bien rire un peu...

"La réunion de copropriété"

Je poursuis l'évocation des grandes toiles peintes chaque année pour être exposées dans les rues d'un village de ma région, évocation commencée ICI. 

La toile que je vous présente aujourd'hui a déjà été publiée ici le 19 février 2019.

Elle a été conçue à partir d'une photo en noir et blanc de la grande photographe Nina Leen que j'ai "détournée", comme on dit maintenant. Trois jeunes femmes en maillot de bain boivent un verre au bar. J'ai adapté le décor pour situer la scène dans ma région, et elles boivent non du coca-cola, mais un petit rosé bien frais, évidemment.

Car l'été, un petit rosé, c'est le pied, n'est-ce pas ?

Huile sur toile 1m x 1,60m

Je poursuis l'évocation des grandes toiles peintes chaque année pour être exposées dans les rues d'un village de ma région, évocation commencée ICI.

J'ai fait une tentative style BD. Une gageure sur cette grande toile de 1mètre par 1,60 mètre.

Je me suis basée sur une de mes scènes d'atelier, surtout pour le modèle et son attitude. Voici donc la scène d'atelier point de départ :

J'ai donc repris l'attitude du modèle que j'ai inscrite dans un nouveau décor. Une jeune femme, assise dans sa cuisine, boit un petit verre de vin rouge. Je rappelle que le thème obligatoire mais large de cette exposition c'est : "La vigne et le vin".

Seule concession à la couleur, le rouge du vin, cela va de soi, avec un rappel sur le coussin où repose le pied de la jeune buveuse (avec modération, évidemment )

Je poursuis l'évocation des grandes toiles peintes chaque année pour être exposées dans les rues d'un village de ma région, évocation commencée ICI. 

C'est la fête du 14 juillet que j'avais décidé d'illustrer cette année là. Je m'étais inspirée d'une photo en noir et blanc des années cinquante, que j'ai abondamment modifiée à mon gré et mise en couleurs.

J'avais pris beaucoup de plaisir à peindre cette toile !

"14 juillet"

Huile sur toile de 1m par 1,60m

Dans ma dernière publication j'en étais là :

J'ai repris les collines du fond, ajoutant des rochers gris à droite, et amélioré les herbages des chevaux. Ils sont contents...

La couleur du bas du paysage ne me plaît pas, les quadrillages initiaux pour reporter et agrandir le dessin se voient encore, je décide de le recouvrir d'une couche d'un vert mélangé de blanc pour bien masquer tout ça, y compris les reprises que j'avais faites sur les jambes et les chaussures des deux petites.

C'est plus net, mais c'est moche ! Il y a encore du travail !

A suivre...

Voici où j'en étais à ma dernière publication. 

J'ai "raccourci" les deux petites, atténué les ombres sur les visages, et fait quelques changements vestimentaires.

Les dents ne sont plus grises.

J'ai encore à faire avec les ombres sur les visages, peut-être encore trop brutales. Ce qu'on accepte d'une photo, on a du mal à l'accepter en peinture.

A suivre...

C'est une artiste qui a posé ce jour-là à l'atelier. Une jeune femme dynamique, active, talentueuse, qui dessine merveilleusement bien. Elle avait pris le soin de mettre des vêtements originaux : jupons blancs et colorés, sorte de manteau ou robe de chambre de velours. 

Je l'ai appelée la Comtesse, parce qu'elle avait de la classe !

J'ai pris beaucoup de plaisir à faire son portrait.

Ce tableau a déjà été publié ici le 7 août 2012.

Huile sur toile 65 x 54