Octobre Rose est une campagne annuelle qui me tient à cœur.

Elle dure tout au long de chaque mois d'octobre et permet de sensibiliser les femmes à l'importance de ne pas négliger un dépistage annuel qui permet d'éviter une intervention trop tardive. 

61214 nouveaux cas en 2023...

Et n'oublions pas que, même c'est beaucoup plus rare, les hommes aussi peuvent être atteints de cette dure maladie.

Soyez vigilants !

Edgar Degas - "Danseuses en rose" - (entre 1880 et 1890)

Trois poses de dix minutes chacune.

Encre noire aquarellable et aquarelle sur papier aquarelle

Pour le "Tableau du samedi" initié par Jean-Marie, repris par Lady Marianne et continué par Fardoise et Lilou le thème, ce samedi c'est : "L'enfant et la musique". 

J'ai choisi ce beau tableau de Whistler où une fillette admire sa maman jouant un morceau de piano. 

James McNeill Whistler - "Au piano" - (1858-1859)

On y retrouve ,comme souvent chez Whistler, la présence du noir et du blanc en dominantes, soulignés par l'acajou du piano, le sol violine, le jaune du cadre des gravures décorant le mur. Sobriété, efficacité...

Je suis en admiration.

Scène d'atelier à l'encre sépia aquarellable et lavis.

Temps de pose : deux heures et quart.

Deux poses de six minutes chacune.

Le déhanché du modèle de droite est un peu bizarre...

Encre noire aquarellable et lavis sur papier aquarelle

Gustave Loiseau (1865 - 1935) est un peintre postimpressionniste français. Il est né à Paris dans une famille de bouchers originaires de Pontoise, ville à laquelle il restera attaché et où il passe son enfance.

Apprenti charcutier à 15 ans, il part à Montmartre où il rencontre le peintre Fernand Quignon qui lui apprend la peinture, et à 22 ans il décide de devenir peintre et suit les cours de l'Ecole des arts décoratifs. 

Il peint la vie rurale et la campagne directement dans la nature. Il peint des séries influencées par Claude Monet : falaises, ports, églises.

 Gustave Loiseau - "Rochers dominant la mer en Bretagne" - (1906)

A partir de 1890 (il a 25 ans), il se rend tous les étés avec ses amis peintres à Pont-Aven où Paul Gauguin lui donne des conseils.

Gustave Loiseau - "Rivère en automne" - (1919)

 A 26 ans il séjourne à Auvers-sur-Oise, mais la plus grande partie de sa vie, entre 1904 et 1935, se passe à Pontoise où son atelier existe toujours et où il est enterré. 

Gustave Loiseau - "La Place de la Bastille"- (1922)

Il participe à des expositions de peintres impressionnistes à Paris et signe un contrat avec le marchand d'art Paul Durand-Ruel qui expose ses tableaux dans sa galerie de New-York. 

 Gustave Loiseau - "Port de Dieppe" - (1926) 

J'ai découvert ce peintre par hasard, et j'ai surtout beaucoup aimé ses paysages.

Bien sûr, il n'a pas fait partie des pionniers de l'impressionnisme, mais certaines de ses œuvres m'enchantent. On sent l'influence de Monet, mais ce peintre s'est bien approprié les techniques impressionnistes et sa patte est pleine de charme.

Gustave Loiseau - "Auto-portrait"

Trois poses de dix minutes chacune. 

Encre sépia aquarellable et aquarelle sur papier aquarelle

Pour le "Tableau du samedi" initié par Jean-Marie, repris par Lady Marianne et continué par Fardoise et Lilou le thème, ce samedi c'est : "Jeux de mots dans la peinture". 

Pour ce samedi j'ai choisi un tableau de René Magritte (1898 - 1967) peintre belge surréaliste. 

René Magritte

Ce tableau : "L'Art de la conversation" ( peint en 1950) est assez différent des tableaux les plus connus de cet artiste, et c'est peut-être pour cela qu'il me plaît particulièrement.

J'aime l'effet de profondeur rendu par les différents plans de cette œuvre et la grâce des deux cygnes du premier plan.

Le mot "Amour" est magnifiquement présent par ces sortes de vagues qui le font se détacher sur le fond plus sombre.

Une pose de dix minutes.

Encre sépia aquarellable et aquarelle sur papier aquarelle

Pour une exposition de groupe, dont j'ai oublié le thème mais qui devait porter sur la fantaisie, j'ai réalisé ce tableau pour lequel j'ai utilisé des produits de maquillage, de coiffure, et pas du tout de peinture.

Pour la peau je de suis servie de crèmes et de fonds de teint, du rouge à lèvres, du blush. Les cheveux et la jupe sont évoqués par des mèches-échantillons que m'a donnés ma coiffeuse. Les gants, les chaussures et les fonds sont colorés par des ombres à paupières. Toutes mes copines m'avaient donné leurs fonds de tiroir de produits de beauté, et l'une d'elle, directrice d'une école de danse de salon, m'a apporté un trésor : une boite pleine de tubes et de boites de maquillage aux couleurs géniales.

La jupe déborde du cadre, fantaisie supplémentaire.

Produits d'esthétique sur bois -  Environ 1,5 m x 0,50 m