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    Voici le portrait terminé. Mais je ne suis pas contente de la main : phalanges trop longues. Il faudra la reprendre.

    C'est agréable de peindre un visage naturellement souriant !

     

    Dimanche - En séance : portrait au pastel (Fin)

    Pastels secs sur pastelmat 40 x 50

    ZOOM

    Dimanche - En séance : portrait au pastel (Fin)

     

     


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    Vite, vite, vite !!! happy

     

    Lundi - Deux et trois minutes

    Encre sur papier machine F3


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    Samedi - Le Sidaner à Gerberoy

    Henri-Eugène Le Sidaner, né à Port-Louis, Île Maurice, le 7 août 1862 et mort à Paris le  16 juillet 1939, est un peintre français.

    L'artiste découvrit Gerberoy, petite ville délaissée de l'Oise où il acheta une maison qu'il restaura peu à peu.

    Seul Gerberoy fut propice à une création fertile en devenant presque le thème principal de son œuvre (plus d'une centaine de toiles produites). Dès 1901, il propose au Salon des vues de la cité, puis il se focalise progressivement sur la partie architecturale phare de la maison, à savoir la façade, ses fenêtres, ses volets. Dans la recherche de l'instant intime, de l'arrêt sur image, les toiles de Gerberoy émanent d'une douceur de vivre incomparable en même temps qu'elles déclinent selon l'heure et la saison des accords chromatiques variés.

     

    Samedi - Le Sidaner à Gerberoy

    C'est environ à partir de l'année 1900 qu'il se consacre désormais à une peinture intimiste dont se trouve exclue la figure humaine ; jardins déserts, tables servies pour d'hypothétiques hôtes, campagnes solitaires, expriment une vision silencieuse et paisible avec une technique néo-impressionniste et un chromatisme retenu aux nuances chaudes, à la tonalité raffinée et douce qui nimbent ses scènes moins de mystère que d'une espèce de religiosité.

     

     

    Samedi - Le Sidaner à Gerberoy

     

    Samedi - Le Sidaner à Gerberoy

     

    Documentation Wikipédia. Pour en savoir plus cliquez ICI

     

     

    Ce peintre me fait penser aux peintures de Laurent Parcelierque j'avais présentées ICI , qui peint aussi des lieux occupés par des tables, et dénués de personnages. Mais chez Le Sidaner, les couleurs sont plus douces, le ressenti plus feutré.

    Le Sidaner a peint sur d'autres thèmes et son œuvre est varié, mais j'ai choisi de vous en montrer seulement cet aspect.

      

    Cet article a été rédigé pour la communauté "Le tableau du samedi" de l'ami  Jean-Marie .  


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     Ce dessin avait été publié le 23 juillet 2012 .

    Dix minutes.

     

    Vendredi - Un coup d'oeil dans le rétro : Missia

    Encres et aquarelle sur papier aquarelle


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    Dix minutes.

     

    Jeudi - Le raccourci, c'est le pied !

    Encre et aquarelle sur papier aquarelle environ 32 x 20


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    Après une heure et quart de travail, une nouvelle scène d'atelier est en train de naître !

     

    Mercredi - En séance : Scène d'atelier

     

    A suivre...

     


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     Ce portrait d'un modèle atypique a été peint sur une toile préparée au sable, et je l'ai photographié au soleil couchant, en lumière rasante, ce qui crée des scintillements étranges.

    Etrange modèle, étrange lumière, étrange portrait...

     

    Mardi - Dans mes archives : en lumière rasante

    Huile sur toile préparée au sable 46 x 55


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     Trois fois dix minutes.

     

    Lundi - Trois poses + un chat couché

    Encre noire aquarellable 32 x 46


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    Suite de la séance commencée ICI

    Au bout d'une heure je commence à préciser les éléments du portrait.

     

    Dimanche - En séance : portrait au pastel (2)

     

    Et une demi-heure avant la fin de la séance voila ou j'en suis !

     

    Dimanche - En séance : portrait au pastel (2)

     

    A suivre !!!


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    Le peintre réaliste 

    Samedi - Courbet et Marchal deux scènes, deux styles.

    Un enterrement à Ornans : Gustave Courbet

     

    Samedi - Courbet et Marchal deux scènes, deux styles. 

    Samedi - Courbet et Marchal deux scènes, deux styles.

      

    Gustave Courbet, né le 10 juin 1819 à Ornans près de Besançon, et mort le 31 décembre 1877 en Suisse, est un peintre français, chef de file du courant réaliste. D'ailleurs son réalisme fait scandale.

     

    Courbet achève Un enterrement à Ornans en 1850, à une période charnière pour l’histoire de France : Napoléon III, a été élu président de la république.

     

    C'est dans le nouveau cimetière à l'écart de la ville d'Ornans que se déroule l'enterrement. Les personnages regroupés masquent les autres tombes et les murs du cimetière, ce qui nous laisse penser que la fosse a été creusée au milieu de nulle part. Le peintre fait figurer la scène à un moment précis : le convoi vient d'entrer dans le cimetière et est scindé en trois groupes (les officiants, les hommes et les femmes). Les 27 personnages pressés en double rang sont tous des habitants d'Ornans que Courbet avait fait poser un à un dans son atelier.

     

    Le peintre "pompier" 

    Samedi - Courbet et Marchal deux scènes, deux styles.

     La foire aux servantes : Charles-François Marchal 

    Samedi - Courbet et Marchal deux scènes, deux styles.

     

    Samedi - Courbet et Marchal deux scènes, deux styles.

      

     

    Charles-François Marchal est un peintre français. Né à Paris le 10 avril 1825, il y est décédé le 31 mars 1877. En septembre 1861, il vint à Nohant pour y rencontrer George Sand. Celle-ci dit de lui "Un gros ami qui ressemble assez à vos chiens de Terre-Neuve, qui pèse 182 livres et a de l’esprit comme quatre." Il est aujourd'hui connu comme son dernier amant.

     

    La Foire aux servantes 1864. Cette œuvre est une commande officielle passée à l’artiste par l’empereur Napoléon III par l’entremise de George Sand. Le tableau représente un moment de la vie économique de Bouxwiller (Alsace) ; au XIXe siècle, chaque 11 novembre se tenait la foire aux servantes (Gsindemärik en alsacien). Cette journée marquait le début des nouvelles embauches pour l’année à venir. La foire aux servantes était une journée festive.

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    Gustave Courbet peint les personnages tels qu'ils sont, Alors que Charles François Marchal les peint de façon idéalisée, il embellit la réalité. On peut ainsi prendre conscience de la modernité de Courbet qui a peint son tableau 14 ans avant Marchal.

     

    Cet article a été rédigé pour la communauté "Le tableau du samedi" de l'ami  Jean-Marie .  


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