Pourquoi cette chanson de Renaud ?

Parce que le modèle s'appelle Yves, qu'il est sûrement breton, et puis parce que ça me plaît !

Pour mes scènes d'atelier, je commence toujours par le modèle, bien sage, qui ne bouge (presque) pas. Puis je dessine à la volée les artistes autour, saisis, si j'y arrive, dans une attitude caractéristique du dessinateur concentré. Je termine le dessin (à la plume directement, je le rappelle)presque toujours par la mise en place du décor.

Les personnages sont en place, ça "tourne" bien !

Le décor se met en scène peu à peu.

à suivre : la phase finale.

Enfin je retrouve une connexion rapide et illimitée, après quatre mois et demi d'attente !

Et je reprends le cours avec le portrait de ce jeune anglais dont je vous avais montré les prémisses le 26 mai 2015 : CLIC ICI

La troisième étape :

Et le résultat final après 2heures et quart de pose :

Pastels secs sur papier abrasif 50 x 70

Et je l'accompagne d'une musique qu'on entend beaucoup en ce moment...

Bonjour à tous les amis.

Je suis toujours sans raccordement et ça risque de traîner encore quelques temps, hélas.

J'ai laissé filer septembre sans me manifester, un peu écoeurée par cette attente interminable, mais je ne pouvais laisser passer octobre sans appeler à soutenir "Octobre Rose".

Et pour cela je vous propose un dessin de ma "période rose" lol... accompagné d'une de mes chansons préférées de Francis Cabrel.

Et je vous dis : à bientôt (j'espère...) !

Toujours sans raccordement téléphonique, donc sans internet illimité, je ne veux pas passer le mois sans vous donner un petit signe de vie...et vous offrir une petite œuvre.

Aujourd'hui, une scène d'atelier que j'ai intitulée "Contemplation" mais qui aurait pu aussi s'appeler "Fascination", tant toutes ces femmes portent sur le modèle offert un regard passionné

Encre noire aquarellable 30 x 40

Bonjour mes amis !

Je passe vous faire un petit coucou. Ayant déménagé, je me retrouve sans connexion jusqu'en septembre. Je profite d'une opportunité pour vous dire de ne pas m'oublier et de patienter...Je reviendrai donc en septembre, promis !

Et pour me rappeler à votre bon souvenir, voici un pastel pour lequel le modèle s'était bien contorsionnée !

Bonnes vacances à tous et à bientôt !

Pastel sur Pastelmat 50 x 70

Les amis, pour moi le mois de juin va être rude et je n'aurai pas le temps d'assurer mes publications, qui d'ailleurs se font de plus en plus rares, vous avez dû le remarquer

Rassurez-vous, ce n'est pas une question de santé, je me porte bien, et je vous dis à bientôt : courant juillet je pense !

En guise d'au revoir, voici une sanguine tirée de mes archives !

Sanguine sur canson

Sanguine sur papier Ingres 30 x 40 

Première partie de séance. D'abord le dessin, puis la mise en place ombre/lumière sur le visage.

A suivre...

 Tamara de Lempicka (1898 - 1980), née d'un père russe et d'une mère polonaise, épouse d'un avocat polonais, réfugiée à Paris pendant la Révolution d'octobre, elle a été l'élève de Maurice Denis et de André Lhote. Elle a acquis un style bien à elle et très en phase avec son époque, style influencé par l'art nouveau, l'art maniériste de la Renaissance (surtout Botticelli), et le néo-cubisme. Mélange inattendu et très original qui plaît beaucoup à la haute société parisienne.

J'aime particulièrement cette jeune fille en vert et c'est ce tableau que j'ai choisi pour illustrer son œuvre.

Dans la colonne de droite, vous verrez aussi un auto-portrait de Tamara de Lempicka, artiste attachante.

Un dessin ancien. Il y a des erreurs, mais j'aime bien la force qui s'en dégage.

Fusain de Sibérie sur papier dessin 50 x 65