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Première présentation de ce portrait : ICI
J'ai ajouté quelques lumières, notamment sur la veste, sur le chat, et quelques rides au "jeune homme" mais la photo ne les laisse pas voir
Pastels secs sur Pastelmat 30 x 40
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La poire est de saison, l'occasion de retrouver Erik Satie
Les poses debout sont difficiles à réussir. Il faut veiller à ce que le modèle "tienne debout".
Pour celle-ci, je crois que c'est bon !
Cette jeune femme est petite, bien proportionnée, la taille cambrée, style gymnaste.
Crayon noir et crayon blanc sur papier recyclé gris 28 x 46
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J'en étais restée là : là
Voilà, la séance est finie ! Le modèle va récupérer sa liberté de mouvement après 2h et demie de pose.
Mon opinion est mitigée. Elle avait un beau chignon que je ne voyais pas, et je lui ai fait les cheveux courts, ce qui n'est pas du tout son style ! J'ai le projet de mettre de l'ordre à ça !
Et le fond n'est pas fini. J'avais esquissé quelques fleurs en deuxième partie de séance, puis je les ai effacées, alors que ce n'était pas si mal...
Autrement dit, ce n'est pas terminé du tout, il faudra y revenir
Ce n'est pas extrêmement ressemblant, mais j'aime bien son petit sourire !
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Huile sur toile sans chassis, 50 x 70
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Deux fois dix minutes.
Pose de droite : le buste est un peu trop long.
Encre et aquarelle sur papier aquarelle 32 x 46
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Samedi dernier, pour "le Tableau du samedi", je vous ai présenté Milt Kobayashi, artiste américain d'origine japonaise.
Je vous présente aujourd'hui un autre artiste, Malcolm Liepke, dont la peinture présente, à mon avis, une parenté certaine avec celle de Kobayashi, de par sa technique comme de par ses thèmes, et dont le parcours ressemble étrangement à celui de cet artiste.
Malcolm Liepke est un artiste américain, né en 1954. Elevé à Minneapolis, il étudie au Center College Art à Los Angeles. Ses aspirations artistiques ont rencontré les même obstacles que celles de Kobayashi : il avait faim de formation classique plutôt que des idées conceptuelles enseignées dans cette école d'art.
Tout comme Kobayashi, Liepke décide alors de s'installer à New York. Il dit (traduit par Amande...) : " Quand j'ai déménagé à New York, j'ai commencé à aller dans les musées et faire mon apprentissage avec tous les grands artistes ... Velazquez, Whistler, Chase, Vuillard, Sorolla et autres. J'ai appris la couleur, la composition et la technique. Je me suis rendu compte que leur travail était celui que je voulais accomplir. Ils étaient mes héros, alors je suis devenu leur élève ". Ne trouvez-vous pas que son cheminement est semblable à celui de Kobayashi ?
Dans un nouveau projet artistique Liepke apprend la lithographie originale, et maîtrise cette technique difficile. Il choisi de travailler sur les mêmes presses lithographiques "Voirin" que Toulouse Lautrec avait pratiquées des siècles auparavant.
Ses œuvres révèlent la sensibilité et l'élégance de Malcolm Liepke qui sont renforcée par cette technique.
Depuis 1979, Liepke est devenu un nom très respecté. Les peintures de Liepke ont été exposées dans divers lieux prestigieux.
Et n'oubliez pas de regarder dans le Musée virtuel (à droite de cette page) d'autres œuvres de Malcolm Liepke !
Cet article a été rédigé pour la communauté "Le tableau du samedi" de l'ami Jean-Marie .
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J'ai publié ce portrait, parmi d'autres œuvres, dans cet article , un des tous premiers, qui était paru dans mon blog précédent et que j'ai fait migrer dans Eklablog.
Mais je trouve que ce petit tableau mérite d'être un peu plus mis en valeur.
Personnellement, c'est un de mes portraits préférés. On m'a dit beaucoup de choses (parfois étranges) sur cette peinture, lorsque je l'ai exposée. Elle fait partie des tableaux que je n'effacerai jamais. Ma collection personnelle .
Huile sur toile 38 x 46
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Le portrait peut être considéré comme fini, mais je n'ai pas finalisé le fond.
Je réfléchis...
Il est resté tel qu'il était à la fin de la séance.
Pastels secs sur papier Touch (abrasif) de chez Canson 50 x 70
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Cette scène d'atelier a été commencée sur un papier aquarelle de grande dimension (50 x 70) au lieu du format 30x 40 que j'utilise d'habitude.
Mais ce n'est pas tant cela qui m'a gênée que la texture du papier, trop rugueuse : la plume ne "glissait" pas bien dessus, cela me retardait et m'agaçait...Résultat : je n'ai pas pu la terminer, et je n'ai pas envie de la reprendre au cours d'une autre séance, comme je l'avais projeté au départ, étant bien consciente de ce que sur un tel format il me faudrait plus de temps que d'habitude.
Je vous la livre telle qu'elle est...et restera...
Et quelques détails :
Encre aquarellable sur papier aquarelle trop rugueux 50 x 70
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